Il fut un temps où, lorsque mon regard croisait le vôtre,
jaillissait en mon cœur un élan de tendresse.
Où, ni les dieux des vents, ni ceux de la tempête, n’auraient pu se mêler.
Il aurait dû le dire le temps, d’où je m’extrais,
en ces mots décadents, pour vous troubler encore.
Car mon âme, à jamais, n’aura d’autre repos que de vous retrouver en ces printemps magiques.